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Par ABAKUS IT-SOLUTIONS

Informatique est un nom féminin

Posté il y a 3 Ans  

Pourquoi y a-t-il si peu de femmes dans les métiers de l’IT ? Zoom sur la composition d’ABAKUS IT-SOLUTIONS, et tentatives de réponses.

On vous parlerait bien de ces « calculatrices humaines », ces « ordinateurs en jupe », employées dès 1945 par la NASA pour calculer la trajectoire des missiles, passées 20 ans plus tard, à moins de 50 % des effectifs des métiers de l’informatique. Mais, chez ABAKUS, on préfère regarder droit devant. Et adhérer au rapport 2021 de l’UNESCO sur la science, qui précise que « pour être intelligente, la révolution numérique devra être inclusive ». Voici (au moins) 3 raisons de l’entamer avec nous.

Plus de mixité


« Nos équipes comptent actuellement 26 femmes, sur 110 personnes. La majorité sont des administratives/recruteuses. 9 sont techniciennes ou développeuses », souligne Caroline Gillardin, Administration & Finance Manager. « Quand j’ai commencé, il n’y en avait qu’une : ABAKUS se féminise, lentement mais sûrement. » En attendant, on rêve d’équilibre et de parité, d’une mixité plus grande, d’un secteur moins geek et plus féminin.

« L’IT est un monde de gens vifs et précis.», remarque Philippe Houssier, Partner - Sales & Business Development. « Et les femmes sont généralement plus précises que les hommes. Sans vouloir tomber dans les clichés, elles rendent aussi, généralement, les dialogues plus riches, parce qu’elles sont moins dans le conflit, et davantage capables d’entendre la critique constructive. Peut-être parce que, contrairement aux hommes, la majorité a dû batailler pour faire son chemin ? »

Plus de (in)formations


Pour revenir à la parité historique du secteur, sans doute faut-il donc travailler en amont. Si les écoles, puis les universités et les entreprises, œuvraient de concert pour donner davantage de visibilité aux femmes dans les filières IT, les candidates ne seraient-elles pas plus nombreuses à oser se lancer ?

Élodie Houssier, Business Développer, renchérit : « L’idéal, c’est d’opter pour un métier que l’on aime. Il faut donc informer très tôt à propos des différentes filières, et arrêter d’attribuer des métiers en fonction des genres – tu seras infirmière, ma fille. Parce que rien, chez ABAKUS, n’empêchera jamais une femme d’accéder à la fonction qui l’intéresse. Un homme non plus : ce que nous exigeons, de tous nos talents, c’est la capacité, l’envie, l’implication. Un petit grain de folie, peut-être aussi. Pour le reste, on peut arriver chez ABAKUS avec un bagage restreint et évoluer, au gré des formations et de l’expérience partagée par les plus anciens. Il y a toujours dans l’équipe quelqu’un sur qui s’appuyer quand on doute. »

Une récente étude de Michael Page Technology, observe que « les femmes s’orientent déjà plus volontiers que les hommes vers les métiers de la Data : plus de 7 % d’entre elles s’y consacrent aujourd’hui, contre moins de 3 % des hommes. Surprenant ? Pas tant que cela. Ces nouveaux métiers nécessitent en effet des compétences mathématiques ou statistiques avancées mais exigent également des compétences en gestion de projet, une réelle vision business, un excellent relationnel et une grande capacité à traduire des résultats pour une exploitation opérationnelle. Ils sont par ailleurs accessibles en transverse à des business analysts ou professionnelles issues du marketing digital. »

Plus d’audace


Les besoins des entreprises en matière de compétences informatiques évoluent toutefois plus vite que l'offre de compétences disponibles sur le marché. Aujourd’hui, chez ABAKUS et ailleurs, on apprécie la maîtrise technique avant les diplômes, tout en privilégiant le confort : « Celui des clients, naturellement. Et celui des collaborateurs : parce que tout le monde ne peut pas être au bureau en permanence, chacun bénéficie du matériel, des aménagements et du soutien qui lui permettront de travailler et de grandir au mieux, où qu’il se trouve », souligne Mandy Cremer, Administration Officer.

Local Proximity Responsible au Joint Research Center of the European Commission de Geel (Anvers)  depuis janvier 2020, Leen Hannes confirme. Et, si on lui demande ce qu’elle conseillerait aux jeunes filles qui réfléchissent à leur avenir, elle répond : « Faites ce que vous préférez, n’oubliez jamais que tout est possible. On peut travailler dans l’IT, adorer ça, et construire une carrière en même temps qu’une famille. Just do it ! » 

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